Des recommandations peut-être renforcées en alimentation animale
En dehors des toxines T2 et HT2, la Commission européenne réfléchit également au renforcement des règles concernant les mycotoxines déjà réglementées du type désoxynivalénol, zéaralénone, fumonisine ou ochratoxine A. En alimentation animale, elles ne font l’objet que d’une simple recommandation. « La plupart des Etats membres sont contents de cette approche, mais certains veulent une approche plus réglementaire », a souligné Frans Verstraet, de la Commission européenne, le 25 mars.