Clauses miroirs : des mesures applicables sous conditions, selon le think tank Jacques Delors
Si elle respecte un certain nombre de conditions légales, l’UE peut tout à fait imposer à ses partenaires commerciaux des mesures miroirs pour des raisons de santé des personnes, des animaux ou des plantes mais aussi des questions d’intérêt commun (comme l’atténuation du changement climatique ou la préservation de la biodiversité), assure dans une analyse le think tank Europe Jacques Delors.
L’UE peut imposer ses normes, via des clauses miroirs, sur les produits agroalimentaires importés pour des raisons de santé des personnes, des animaux ou des plantes mais il est plus difficile de justifier ces mesures lorsqu’elles concernent le bien-être des animaux ou la protection de l’environnement, estime, dans une analyse publiée le 15 avril, le think tank Europe Jacques Delors.