Mais que veut la France ?
Malgré son devoir de réserve – étant donné son rôle de coordination des travaux du Conseil –, la France garde des intérêts agricoles forts et tente d’obtenir d’importantes modifications des propositions initiales de la Commission européenne pour le bilan de santé de la Pac. D’ailleurs, absolument pas choqué par cette double casquette, habituelle pour une présidence de l’UE, un traditionnel allié de Paris sur les dossiers agricoles se félicite de la façon toute française de « préparer le terrain ».