Michel Barnier défend sa réforme
Alors que les agriculteurs du bassin parisien foulaient encore les pavés de la capitale, Michel Barnier a profité de son intervention à l’APCA (Assemblée permanente des Chambres d’agriculture) pour tordre le cou aux critiques sur le bilan de santé de la Pac. Non, il n’a pas laissé l’agriculture aux bons soins du marché. L’accord européen du 20 novembre a « préservé tous les outils d’intervention », a notamment indiqué le ministre. Non, les céréaliers ne sont pas les seuls à payer.