« Nous n’avons rien obtenu », estime le président français
Interrogé par la presse sur une éventuelle responsabilité de la Commission européenne, voire de son président, José Manuel Barroso, dans le « non » irlandais du 12 juin au Traité de Lisbonne, Nicolas Sarkozy a estimé devant la presse, le 20 juin, que « le débat irlandais a porté sur l’avortement, sur l’euthanasie, sur un commissaire européen ou pas, sur la fiscalité, sur l’OMC, sur l’agriculture » et qu’ « on ne peut pas ramener cela à M. Barroso ».