« Perdant-gagnant », selon Momagri
«À l’heure où les autorités européennes s’interrogent sur les pratiques d’espionnage des États-Unis, il est tout aussi utile d’être vigilant sur la qualité des outils de négociation » pour la conclusion d’un accord de libre-échange, souligne Momagri, think-tank spécialisé dans les politiques agricoles. Selon lui, la Commission européenne s’appuie sur une étude du CEPR (Centre for Economic Policy Research) qui ne permet pas d’évaluer les opportunités d’un tel accord et les risques pour l’agriculture.