Perturbateurs endocriniens : l’Anses opposée à la proposition de Bruxelles
« La Commission européenne a des critères très dichotomiques pour définir les perturbateurs endocriniens », a tancé Christophe Rousselle, chef d’unité de l’évaluation des substances chimiques à l’Anses, lors d’une conférence de presse à Paris, le 28 juillet. Bruxelles avait présenté le 15 juin des critères de définition des perturbateurs endocriniens, mais elle n’avait pas repris l’idée de « graduation » (« avéré », « présumé » ou « suspecté ») défendue notamment par l’Anses.
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