Pesticides : une étude complémentaire qui tente de minimiser les conséquences
Dans son étude d’impact complémentaire sur sa proposition de réduction de 50 % de l’utilisation des pesticides à l’horizon 2030 – attendue pour début juillet –, la Commission européenne tente de rassurer les colégislateurs : des alternatives seront disponibles d’ici là, et les États membres pourront choisir de concentrer leurs efforts sur certains secteurs (moins stratégiques ou dans lesquels la consommation est la plus importante). Les négociations se poursuivent mais ne devraient pas aboutir avant les élections européennes.
Selon une première version de l’étude d’impact complémentaire demandée par les États membres sur le règlement Pesticides, la Commission européenne tente de minimiser les conséquences (économiques notamment) de ses propositions de réduction de 50 % de l’utilisation des pesticides.