Que d’embûches !
Rien n’est simple, ni le fonctionnement de la Pac actuelle ni la préparation de la prochaine. L’Autriche, qui vient de prendre en charge la présidence du Conseil de l’UE, va faire de son mieux tout au long du trimestre pour faire progresser le débat ministériel sur les propositions de la Commission de Bruxelles pour l’après-2020, débat dont elle dressera un « état des lieux » en décembre. Mais ces délibérations sont plombées par l’hypothèque budgétaire que fait peser le Brexit dont la négociation avec Londres est, en plus, particulièrement laborieuse.