Cycle de Doha
Réserves à l’égard d’un éventuel accord partiel anticipé sur l’agriculture à l’OMC
Les membres de l’OMC reconnaissent l’importance de sujets qui, selon les pays émergents ou en développement, pourraient faire l’objet d’un accord anticipé. Mais certains, l’UE et les États-Unis notamment, craignent que le fait d’isoler ces questions ne bouleverse l’équilibre des actuels projets de compromis global sur l’agriculture, ainsi que celui du cycle de Doha dans son ensemble.
L’ambassadeur de la Nouvelle-Zélande auprès de l’OMC, John Adank, a présenté au comité des négociations agricoles de l’OMC, qu’il préside, les résultats de consultations menées pour évaluer les chances de boucler certaines parties d’un accord global de façon anticipée, à temps pour la Conférence ministérielle de l’organisation en décembre 2013 à Bali (Indonésie).