Surfaces d’intérêt écologique : les États membres à la recherche de flexibilité
Les surfaces d’intérêt écologique qui devraient couvrir 7% de la surface des exploitations selon la proposition de la Commission européenne sont vivement attaquées par les États membres. « 7% de surfaces d’intérêt écologique c’est trop, tout le monde est d’accord », résume la ministre belge de l’agriculture, Sabine Laruelle.
« Mais quel que soit le pourcentage qui sera retenu, il faudra de la flexibilité », indique-t-elle.
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