Un lien entre modulation obligatoire et volontaire
Le 13 février, à la veille du vote de l’Assemblée sur le second rapport de Lutz Goepel, Mariann Fischer Boel déclare, à Strasbourg, « connaître et comprendre les inquiétudes » des députés et leurs craintes d’une Pac « sens dessus dessous », soulignant qu’elle aurait « préféré se tourner vers d’autres solutions que la modulation volontaire pour assurer un financement suffisant pour le développement rural », mais que « le sommet européen en a décidé autrement ».