Libre-échange
Le Japon sur deux fronts
Le Japon mène de front actuellement la négociation de deux accords de libre-échange : avec l'UE d'une part, dans le cadre du Partenariat trans-Pacifique, sous la houlette des États-Unis, d'autre part. Il reste néanmoins très réservé sur l'ouverture de son marché, dans le secteur agricole et agroalimentaire notamment.
SUCRE, riz, blé et produits à base de céréales, produits laitiers, bœuf et porc : tels sont les secteurs pour lesquels le Japon rechigne le plus à ouvrir son marché dans le cadre des deux négociations de libre-échange qu'il mène actuellement, d'une part avec l'UE, d'autre part avec une douzaine de pays impliqués dans le Partenariat trans-Pacifique (TPP), dont les États-Unis, l'Australie, le Canada, le Chili ou encore la Malaisie (1).