OMC
Les négociations de l’OMC, à petite vitesse
Même si les dernières discussions semblent avoir donné quelques résultats, le cycle de Doha a besoin, dans tous les domaines, d’un sérieux coup d’accélérateur pour pouvoir respecter l’échéance de la fin de l’année. En tout cas, le président des négociations agricoles attend toujours des éléments « nettement » nouveaux. Le Brésil se serait décidé à prendre une initiative. En vain.
S’adressant le 22 février au Conseil général de l’OMC, Pascal Lamy a jugé encourageantes les récentes discussions tenues entre les hauts fonctionnaires. Mais, a souligné le directeur général de l’organisation, « une accélération majeure à tous les niveaux – multilatéral, plurilatéral et bilatéral – est nécessaire ».