Volailles
LDC se targue d’une meilleure résistance que ses concurrents
Le numéro deux français de la volaille a fortement ressenti l’impact de la canicule, mais celui-ci a été quelque peu compensé par une bonne résistance du groupe durant les premiers mois de l’année, ce malgré la faiblesse de la consommation. Au total, LDC estime avoir « surperformé » le secteur au premier semestre de son exercice 2003-2004.
LDC a maintenu le cap au cours des six premiers mois de son exercice 2003-2004. La performance est appréciable, compte tenu du contexte du secteur de la volaille (baisse de la consommation et effondrement du prix de produits concurrents tels que le porc, hausse des importations, restructurations des entreprises…), qui a perdu 4,6 % en valeur en GMS (à fin août 2003, Sécodip, Nielsen).