Pour la Fondapol, l’État n’a pas à encourager des produits bio « haut de gamme »
La Fondation pour l’innovation politique (Fondapol), cercle de réflexion libéral, estime dans une synthèse publiée le 2 mars que « l’État n’a pas à encourager financièrement des productions de produits alimentaires qui se positionnent dans le haut de gamme comme le sont les produits bio ». L’objectif fixé par la loi Egalim de 20 % de produits biologiques dans la restauration scolaire risque ainsi selon le think tank de créer « un marché captif », et de fausser la concurrence.