L’Adepale propose des aménagements à Egalim2
L’Adepale regrette que la loi Besson Moreau ne réponde pas « aux vrais problèmes » rencontrés par ses adhérents, les petites et moyennes entreprises de l’agroalimentaire, très implantées sur le territoire national, qui peinent aujourd’hui à répercuter la hausse de leurs coûts auprès des distributeurs. Elle a donc dévoilé ses propositions d’aménagement de la loi.
Si certains voyants repassent clairement au vert pour les industries de l’agroalimentaire (IAA), d’autres restent résolument dans le rouge et sources de préoccupations (lire ci-contre). C’est le constat dressé par l’Adepale (1), la fédération professionnelle de l’industrie alimentaire nationale, lors d’une conférence de presse le 24 juin. Une occasion toute trouvée pour Jérôme Foucault, son président, d’insister sur les failles de la proposition de loi Besson-Moreau, dite Egalim2, qui était discutée le même jour à l’Assemblée.