Airbus : le secteur viticole espère encore éviter le pire
Le secteur viticole français ne veut pas se résigner à subir les sanctions américaines dans le cadre de l’affaire Airbus, et cherche des solutions pour éviter leurs dégâts. Plusieurs voies seront examinées, ont déclaré ses dirigeants les jours qui ont précédé le 18 octobre, date officielle de l’entrée en vigueur de la surtaxation de 25 % : la voie diplomatique, l’adaptation des stratégies commerciales, la voie des mesures européennes exceptionnelles. Au moins, sur ce sujet, la filière viticole fait bloc.
« Je réaffirme très fermement ma conviction que l’action menée par Didier Guillaume et de Bruno Le Maire peut conduire à repousser la date de l’application des sanctions américaines », a déclaré Jérôme Despey, président du conseil spécialisé viticole de FranceAgriMer sur le parvis de l’établissement le 16 octobre.
Mots-clés