Coexistence : deux lectures divergentes du rapport de la Commission
Adopté par la Commission de Bruxelles le 10 mars, au lendemain du débat public des ministres de l’environnement sur les OGM, le rapport sur la coexistence des cultures transgéniques, conventionnelles et biologiques Voir n°3047 du 13/03/06.a suscité des réactions contradictoires avec d’une part le lobby des biotechnologies prompt à réclamer de la souplesse dans les mesures de coexistences prises au plan national et, d’autre part, les écologistes très remontés contre l’absence de volonté communautaire d’ériger un cadre harmonisé et strict.