Viticulture
Des experts tempèrent la gravité de la crise
La crise viticole serait moins grave qu’on ne le dit, selon certains intervenants au colloque « Quelles pratiques commerciales développer face à la crise du vin ? », organisée le 24 janvier par l’école d’ingénieur Isaralyon. Ils s’appuient sur les données économiques de ces dernières années.
« Il ne faut pas confondre écart entre la production et la consommation d’une part et excédent d’autre part », a expliqué Pierre Leclerc, directeur du Comité économique des vins du Sud Est (Cevise).