Des mesures de rétention à l’export en Russie et en Ukraine
De crainte de ne pas avoir suffisamment de blé et d’orge à disposition et de voir flamber son marché intérieur, l’Ukraine a prolongé les quotas mis en place pour trois mois au début du mois de juillet. Ils seraient en vigueur jusqu’en mars prochain. Les volumes autorisés à l’exportation pourraient toutefois être supérieurs aux 3 000 tonnes en vigueur sur la première période. La Russie songe également à mettre en place un système restrictif à l’export. Le gouvernement pourrait recourir à l’intervention, qui l’obligerait à mettre simultanément en place des taxes à l’exportation.