Éleveurs et élus des différents massifs de France lancent la Fédération nationale de défense du pastoralisme
Une nouvelle assemblée regroupant des bergers, des scientifiques et des élus voit le jour. Baptisée Fédération nationale de défense du pastoralisme, elle veut sensibiliser le public aux atouts du pastoralisme, et défendre un élevage en plein air fragilisé par la présence du loup et de l’ours dans l’Hexagone.
La Fédération nationale de défense de pastoralisme (FNDP) annonce en Lozère son lancement officiel le 24 juin. Elle regroupe des éleveurs, des bergers, des élus et des scientifiques convaincus de « l’impossible cohabitation des troupeaux et des grands prédateurs ». Issus de tous les massifs de l’Hexagone, ils plaident pour une régulation sévère des loups. Mélanie Brunet, coprésidente de l’association, souligne qu’il ne s’agit pas d’un mouvement syndical ni politique.
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