OGM
Etiqueter les produits animaux pour encaisser le surcoût de la coexistence
Selon une étude réalisée par l’université de Pau – et financée par Greenpeace –, la coexistence entre maïs OGM et non-OGM n’est possible qu’à la condition que les coûts liés aux efforts des agriculteurs puissent être reportés sur les consommateurs par l’intermédiaire d’un étiquetage, en particulier des produits animaux.
Greenpeace qui passe une commande à une université… La démarche est suffisamment rare pour être soulignée. Le fruit de ce contrat vient d’être diffusé sous la forme d’une étude de plus de 100 pages intitulée Analyse des coûts induits sur les filières agricoles par les mise en culture d’OGM.