Greenpeace : « Un coup porté à la dynamique du Grenelle de l’environnement »
L’association écologiste condamne la décision d’Alain Juppé et de Christine Lagarde qui « se contentent de suivre l’avis de la CGB sur le maïs transgénique MON 810 au lieu d’appliquer le principe de précaution ». « Il y avait là l’occasion facile politiquement et utile pour l’environnement de prendre une mesure sérieuse et rapide, qui ne remettait pas en cause la biotechnologie de façon générale, puisqu’il y avait après le Grenelle pour en discuter. Mais ils n’ont pas osé franchir le pas », a regretté Arnaud Apoteker, responsable du dossier OGM chez Greenpeace.