La non-prise en compte de l’Iluc soulage le biodiesel
La décision de la Commission européenne de ne pas tenir compte – dans un premier temps – du facteur ILUC (changement indirect d’affectation des sols) soulage surtout la filière biodiesel, particulièrement mal notée dans ce domaine. Le bioéthanol était, lui, plus épargné. La pénalité appliquée à l’éthanol produit à partir de céréales (blé, maïs…) serait de 12 grammes d’équivalent CO2 par méga joules (gCO2/MJ), celle retenue pour l’éthanol obtenu à partir de betterave de 13 gCO2/MJ et celle pour le biodiesel de 55 gCO2/MJ.