Grandes cultures
La pluie se fait attendre dans les zones intermédiaires
La sécheresse du mois d’avril commence à peser sur les potentiels de rendement des zones intermédiaires, particulièrement en terres superficielles. Il semble difficile, dorénavant, d’avoir des rendements excellents.
Du Poitou-Charentes à la Lorraine, les regards se tournent vers le ciel, en quête de nuages… Et d’eau. « Nous avons eu des pluies d’orage ce week-end, reconnaît Dominique Descoureaux, responsable du service productions végétales à la Chambre d’agriculture du Loir-et-Cher. Mais nous avons récupéré 20 mm dans le meilleur des cas. Lorsqu’il est tombé 4 mm, autant dire que ce n’est rien ». Dans l’ensemble de la zone intermédiaire, le mois d’avril s’est révélé très sec. La situation est inédite.