L’AGPM prévoit un rendement moyen en maïs de 103 q/ha
Malgré une année particulièrement sèche et des températures élevées, les pluies régulières ont permis au maïs d’exprimer son potentiel, y compris en situation non irriguée. En revanche, les prix sont particulièrement bas, du fait d’une concurrence du Brésil et des États-Unis.
Le maïs a subi en 2017 une situation hydrique contrastée, avec un printemps très sec et des températures élevées qui ont engendré des restrictions sur les irrigations. « Heureusement, les pluies et les orages ont été bien répartis tout au long du cycle de végétation, ce qui a permis de pallier un bilan hydrique déficitaire », a expliqué Gilles Espagnol d’Arvalis, le 7 novembre, lors d’une conférence de presse de l’AGPM. Quant aux températures estivales, les cumuls depuis début avril sont supérieurs de 75 degrés jours aux normales historiques.