Le secteur laitier doit faire sans Bruxelles
Le problème principal est que, chaque année, les industriels ne connaissent pas à l’avance les volumes qu’ils vont transformer, et les producteurs ne connaissent pas le prix qui leur sera versé, selon Olivier Picot. Il est donc indispensable qu’ils puissent se concerter, a-t-il résumé.