Les maïsiculteurs restent prêt à contrer la clause de sauvegarde française sur le Mon 810
«La France aurait pu, simultanément à sa notification de demande d’interdiction de la culture du Mon 810 sur le territoire de l’Union européenne, déposer sa clause de sauvegarde nationale », explique Luc Esprit, directeur de l’Association générale des producteurs de maïs (AGPM). Selon lui, le gouvernement n’a pas encore déposé sa clause car il se laisse une marge de manœuvre pour évaluer l’avis de l’AESA (Autorité européenne de sécurité des aliments) sur le Bt 11.