Les prix ne font pas tout
Bien que seuls 2,5 % de leur SAU soient cultivés en bio, les Pays-Bas s’intéressent de près au développement de ce mode de production, durable et à l’origine d’aliments sains. Pour mieux comprendre le raisonnement à l’achat du consommateur, le ministère de l’Agriculture a donc décidé une baisse artificielle des prix d’avril à août 2006 dans 10 villes. Objectif : réduire d’en moyenne 35 % le différentiel de prix entre conventionnel et biologique. Cette baisse a bien sûr fait grimper les achats.