Les semences de ferme poussent à la roue pour intégrer le Gnis
Le 19 juin, le syndicat des trieurs à façon de France (Staff) a martelé son souhait d’intégrer l’interprofession des semences. Il regrette l’absence autour de la table du Gnis des trieurs, des Cuma et des agriculteurs qui, avec la semence fermière, représentent 60 % de la production totale de semence en France.
« Comment se fait-il qu’une profession qui fait six millions de quintaux de semences de céréales à la ferme, pendant que l’industrie en produit quatre millions, ne soit pas représentée dans l’interprofession ? lance Sylvain Ducroquet, président du syndicat des trieurs à façon (Staff), lors d’une conférence à Paris le 19 juin.
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