Coexistence des cultures
Les semenciers croient à l’efficacité des bonnes pratiques
Un cahier des charges de bonnes pratiques, associé à un seuil de présence fortuite de 0,9%, est à même d’assurer la coexistence des cultures OGM et non-OGM, selon les professionnels français des semences.
Adeux jours de la journée anti-OGM, organisée le 18 juin en France, la Confédération française des semences (CFS), le Groupement national interprofessionnel des semences et plants (GNIS) et l’Union des industries de la protection des plantes (UIPP) ont fait entendre leur voix. Lors d’un point presse destiné à faire le point sur la situation en France, les professionnels ont fait part de leur désaccord avec les recommandations de la mission parlementaire « Le Déaut-Ménard » sur le dossier de la coexistence des cultures OGM et non-OGM.