Prélèvements d’eau : le paradoxe français
En 2002, les précipitations qui ont alimenté les réserves d’eau douce françaises sont élevées à 175 milliards de m3 d’eau. Sur ce volume, « seuls » 33 milliards de m3 (soit 19 %) ont été prélevé pour satisfaire les activités humaines, indique l’Insitut français de l’environnement (Ifen) le 12 juillet dans une étude consacrée aux prélèvements d’eau en France et en Europe.