Suez recourt à la blockchain pour « sécuriser » les boues d’épuration
Le spécialiste de l’eau et des déchets Suez recourt à la technologie blockchain pour « sécuriser » les boues d’épuration. Il s’appuie sur une première expérimentation menée dans « une grande métropole de l’Ouest », impliquant sept stations d’épuration (environ 60 000 t de boues par an), cent trente agriculteurs, trois entreprises de travaux agricoles et transporteurs, deux laboratoires.
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