Edito
Bonnes nouvelles
Bien sûr, tous les agriculteurs ne sont pas logés sous la même (bonne) enseigne. L’arboriculture et le maraîchage souffrent de leurs charges d’exploitations excessives, la viticulture peine encore à commercialiser l’ensemble de ses récoltes et la volaille émerge tout juste de sa crise. Mais cela faisait longtemps que le marché n’avait pas apporté un tel contexte. Les prix des viandes restent soutenus, ceux des céréales progressent suffisamment pour pouvoir exporter sans restitution. En même temps, les incertitudes sur l’application de la nouvelle Pac sont en passe d’être levées.