Bruxelles progresse dans son étude d’impact sur les perturbateurs endocriniens
Le Centre commun de recherche a finalisé la méthodologie qui va permettre d’évaluer quelles molécules pourraient être classées comme perturbateurs endocriniens si la législation de l’UE en la matière devait évoluer. 700 molécules, dont 400 produits phytosanitaires, vont être analysées. L’étude d’impact globale de la Commission européenne est attendue pour le second semestre 2016.
La Commission européenne poursuit ses travaux en vue de présenter une étude de l’impact qu’aurait une nouvelle législation sur les perturbateurs endocriniens en lançant une estimation du nombre de molécules sur le marché qui seraient concernées. Elle s’est engagée à établir des critères scientifiques pour identifier les perturbateurs endocriniens et, si nécessaire – selon leur toxicité – en interdire ou en limiter l’usage (1).
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