Didier Marteau (APCA) : les chambres d’agriculture doivent être reconnues comme un interlocuteur « privilégié »
Pour Didier Marteau (APCA), les chambres d’agriculture, dans le cadre du projet de loi Grenelle 2, doivent être reconnues comme un interlocuteur privilégié. Un projet de loi qui lui apporte des satisfactions sur ce chapitre mais suscite aussi des interrogations. Sur la maîtrise de la consommation de foncier agricole par exemple, les chambres d’agricultures ont l’assurance d’être associées à toutes les décisions. Mais le problème est que ce type de rôle d’interlocuteur est envisagé « sans moyen supplémentaire ».