Du Brexit au Ceta
On peut comprendre les Wallons, dont la région est sévèrement désindustrialisée, de refuser davantage d’ouverture de frontières consécutive au projet de traité Euro-Canada, le Ceta. Mais leur réaction relève aussi d’un certain réflexe de peur comme l’a été, récemment, le Brexit pour les Britanniques. Ou comme l’ont montré les votes d’extrême-droite protectionnistes ici ou là, influencés par des campagnes jouant sur la crainte.