FAO
S’il fallait une preuve montrant que les pays occidentaux n’ont pas l’intention de changer grand’chose à leur politique de libéralisation des marchés alimentaires, le dernier sommet de la FAO à Rome vient d’en apporter une. Pas un des dirigeants des grands pays développés ne s’y est rendu, hors un Berlusconi voisin qui ne pouvait évidemment se défiler. Après un G20 volontariste sur la nécessité de financer l’investissement agricole on aurait pu s’attendre à ce que ce volontarisme se prolonge à Rome.
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