Fièvre catarrhale :
« Tant que les Italiens ne sont pas venus acheter nos broutards, les éleveurs et l’État restent dans l’incertitude », a déclaré Yves Berger, directeur de l’Office de l’élevage le 10 octobre : « Doit-on mettre en place des mesures de repousse (N.D.L.R. : garder l’animal plus longtemps) ? ». Il pense en tout cas que « les Italiens devraient acheter un peu moins de broutards, pas seulement à cause de la fièvre catarrhale mais aussi à cause de la baisse de consommation ».