France- Pays Bas : motivations disparates
Les motivations des Français et des Néerlandais sont, de fait, disparates. Aux Pays-Bas, où la participation au référendum du 1er juin a été de près de 63 %, ce sont, selon les sondages, la dissolution du pays dans l’Europe élargie, le risque d’une intervention de Bruxelles sur des dossiers comme la politique libérale nationale, la crainte de l’étranger et une possible entrée de la Turquie dans l’UE qui ont motivé le « non ».