La filière française veut rassurer le consommateur
Voir accolé l’adjectif « porcin » à un virus mortel a fait frémir les professionnels français qui redoutent un impact sur la consommation de viande de porc. Inaporc, l’interprofession porcine française, regrette la « confusion » faite entre la grippe mexicaine et la filière porcine. La voie de contamination est à ce jour exclusivement humaine, note-t-elle dans un communiqué, insistant sur le fait qu’« il ne s’agit pas d’une crise alimentaire ».