La FNSEA dénonce « une Europe qui se fait attendre »
Avec 40 millions d’euros de pertes mensuelles pour les aviculteurs et les entreprises avicoles, il est « impératif d’envisager une prise en charge de la filière dans le temps et dans l’équité ». Pour ce faire, il faut que « la Commission européenne sorte de sa léthargie et montre sa solidarité à l’égard d’une filière, grande créatrice d’emplois. L’Europe fait cruellement défaut. Les paysans aimeraient une Europe qui agit, pas une Europe de techno-bornés », souligne la FNSEA dans un communiqué.