Le succès de l’agroécologie devrait reposer sur sa rentabilité
La nécessité d’atténuer les effets de l’activité humaine sur la planète est reconnue unanimement. Mais entre les belles intentions et la pratique il y a un fossé. Pour le franchir, des chercheurs proposent de donner une valeur marchande à la préservation de l’environnement.
C’est un fait, il faudra produire plus pour nourrir les 9 milliards de personnes qui vivront sur la planète en 2050. Sans pour autant renforcer le phénomène de réchauffement climatique, s’accordaient à dire les scientifiques de l’Union européenne des académies d’agriculture (UEAA), réunis les 11 et 12 octobre à Paris.
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