Les moyens dédiés à l’étude des perturbateurs endocriniens manquent
L’étude des perturbateurs endocriniens manque de moyens, a-t-on appris lors d’un colloque organisé au Sénat, le 11 avril. Pourtant, l’urgence du calendrier réglementaire et les effets pour la santé publique exigeraient de soutenir davantage ce type de travaux.
« La recherche en écotoxicologie est trop peu développée en France », a affirmé Roger Genet, directeur général de l’Anses, lors d’un colloque organisé sur les perturbateurs endocriniens à Paris, le 11 avril. Ces molécules, notamment utilisées dans certains phytos, sont l’objet de discussions à Bruxelles pour les définir d’un point de vue réglementaire en vue d’une interdiction.
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