Les risques d’un sous-investissement
«Chez les céréaliers les postes les plus touchés ne sont pas les dépenses en matériel, mais l’utilisation d’intrants », indique Thierry Pouch, responsable du service références et études économiques à l’assemblée permanente des chambres d’agriculture (APCA). Selon lui, une réduction des achats, en en capital ou en intrants, constitue un danger pour la compétitivité des productions françaises.