« Nous sommes la dernière frontière agricole du monde»
«Nous sommes, au Brésil, la dernière frontière agricole du monde », explique Andrea Veriffimo, directrice de la fédération des exportateurs de viande brésilienne (ABIEC). Il existe encore beaucoup d’espace à utiliser sans toucher à l’Amazonie, explique-t-elle. La directrice insiste : « Avec 90 millions d’hectares libres, ce n’est pas la peine de toucher un arbre de la forêt amazonienne. » Point de vue similaire de la part de Fernando Galletti de Queiroz, directeur commercial de l’abattoir Minerva situé à Barrretos dans la région de Sau Paulo.