OGM : l’AGPM dénonce le renvoi du procès de José Bové après la présidentielle
« La justice se décrédibilise et fait injure aux demandes légitimes des victimes ». C’est par ces mots que l’Association générale des producteurs de maïs (AGPM) a réagi le 27 mars à l’annonce du renvoi, après l’élection présidentielle, du procès de 36 faucheurs volontaires, dont José Bové, candidat à la présidence de la République. Le candidat altermondialiste devait comparaître le 27 mars devant le tribunal correctionnel de Toulouse avec 38 autres prévenus, pour le fauchage d’OGM à Saint-Hilaire, au sud-ouest de Toulouse, en juillet 2006.