Phil Hogan souligne le coût d’un « Brexit » pour les agriculteurs britanniques
La sortie éventuelle du Royaume-Uni de l’UE serait-elle une bonne ou une mauvaise affaire pour les agriculteurs du pays ? Si syndicat NFU ne prend pas vraiment position dans la perspective du référendum prévu d’ici fin 2017, le commissaire européen Phil Hogan a profité de la Conférence annuelle d’Oxford pour rappeler le coût d’un « Brexit » pour les exploitants britanniques. Dans le débat, la simplification de la Pac joue un rôle essentiel.
Le premier ministre néerlandais, Mark Rutte, dont le pays vient de prendre la présidence tournante de l’UE, s’est dit, le 7 janvier, « relativement optimiste » quant aux chances de trouver un accord avec son homologue britannique, David Cameron, sur ses exigences dans la perspective du référendum national « pour décider de l’avenir (du pays) en Europe » prévu d’ici la fin de 2017. « Nous travaillons désormais […] pour arriver à une conclusion » lors du prochain sommet des Vingt-huit, les 18 et 19 février, a-t-il dit (1).
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