Edito
Ressort
Les Français, prompts à tirer des conclusions générales de tout, ont rapidement fait une analyse très noircie de la décision de situer les JO de 2012 à Londres. À entendre certains, le superman Tony Blair, auréolé d’une nouvelle victoire – même endeuillée par les attentats de Londres – va avoir le champ libre pour faire avancer ses idées, reformater l’Europe et saborder la Pac. Il pourra profiter, de plus, d’un surcroît de croissance dont aujourd’hui la France aurait eu davantage besoin que son voisin d’outre-Manche.